En este trabajo analizamos la iconografía de la cerámica ibérica del Sudeste español centrándonos en el ejemplo de Elche (Alicante), cuyo floruit productivo se sitúa en época helenística (III-I a.C). Frente a las interpretaciones comparatistas anteriores, que buscaban en la representación local un simple reflejo de otras culturas mediterráneas, a través fundamentalmente de los modelos figurativos griegos y púnicos, proponemos aquí un modelo que explique internamente estas imágenes, sin renunciar, por otra parte, en casos concretos a reconocer en ellas una determinada influencia formal -y hasta religiosa- helenizante o púnica. Las representaciones vegetal, animal y humana constituyen una estructura orgánica en la cual los elementos se sustituyen alternativamente codefiniéndose unos a otros. Las excepciones aparentes pueden hallar una justificación interna dentro del propio universo figurativo ibérico.
Dans ce travail, nous analysons l'iconographie de la céramique ibérique du Sud-Est espagnol, nous centrant sur l'exemple d'Elche (dpt. Alicante), dont le fíoruit se situé á l'époque hellénistique (lile á 1er s. a.C). Face aux interprétations comparatistes antérieures, qui essayaient de voir la représentation lócale comme un simple reflet d'autres cultures méditerranéennes, á travers fondamentalement les mondes figuratifs grecs et puniques, nous proposons ici un modele qui explique internement ees images, sans pour autant renoncer, dans des cas concrets, á y reconnaitre une influence formelle -et religieuse- hellénisante ou punique. Les représentations végétale, anímale et humaine constituent une structure organique dans laque- He les éléments se remplacent alternativement ou se codéfinissent les uns les autres, et dans laquelle les exceptions apparentes peuvent trouver une justification interne dans Punivers figuratif ibérique lui-méme.
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