Valérie Boisvert, Franck-Dominique Vivien
A l'image du très médiatisé contrat passé entre Merck et iNBio en 1991, la doctrine émanant de la Convention sur la diversité biologique repose sur l'hypothèse du développement d'une nouvelle activité - la bio prospection - et d'un nouveau type de commerce international, celui des gènes. Alors que celle-ci fut conçue dans une période réactivant l'image des tropiques d'abondance, l'heure serait plutôt à l'attentisme et aux déconvenues. Dix ans après l'entrée en vigueur de cet accord, nous pro posons une mise en perspective des évolutions institutionnelles passées et à venir en matière de régulation internationale des ressources génétiques
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