Depuis plus d'une décennie, les villes portuaires sud-européennes tendent à occuper avec constance le devant de la scène urbanistique. Hier, confrontées à la formation de « vides urbano-portuaires », matérialisation du déclin du système technico-économique et social d'un autre âge, elles exposent aujourd'hui avec une aisance et une précision variables, leurs nouvelles conditions de villes « post-industrielles». Pour ces villes, l'heure est au «narcissisme urbain », à la transformation de leur image ternie par la mise en oeuvre de grands projets restructurants caractérisés par leur dimension architecturale événementielle
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