Dans le cadre de la réception en France de la poésie de Pétrarque, l'auteur analyse les traductions franQaises du Canzoniere, disponibles actuellement en librairie, c'est-á-dire celles de Gramont (1842), Genot (1969), Blanc (1988) et celle de Boillet et Rochon (1994). 11 compare les quatre versions des canzoni "Vergine bella"~ "Italia mia" et du sonnet "Valle che dei miei lamenti...", faisant l'éloge des plus récentes, tout en déplorant le peu d'attention accordée par les éditeurs fran9ais á l'~uvre poétique italienne de Pétrarque, en dépit de la célébration du septiéme centenaire, occasion de nombreuses publications concernant les ceuvres latines.
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