L'article présenté ici analyse le document photographique comme élément de mémoire sociale et d'histoire. Il aborde la photographie en tant que document d'identification utilisé comme une des stratégies de la modernité tendant, en même temps, à l'homogénéisation et à la singularisation. Le portrait photographique institué à la Casa de Correção da Corte (Rio, Brésil) est ainsi analysé dans sa fonction de stigmatisation, une marque apposée sur l'image produite sur les prisonniers.
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