Partant du constat que les faits sociaux de mémoire sont portés par des actes de communication, il s�agit ici de dégager les pratiques qui alimentent les formes de « l�agir » socio-mémoriel, aujourd�hui présent en France et ailleurs. Quels processus sont à l��uvre dans des situations post-génocidaires, souvent aussi post-migratoires, comme dans la Shoah (« Khurbn » en yiddish) par exemple ? Dans le cas d�Ashkénazes, il s�agit d�une réinscription qualitative au sein des cartographies de la parenté, mais aussi d�une reconnexion avec des périodes antérieures au génocide et à l�ethnocide à travers des événements culturels.
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