This article addresses Leonard¿s (2006) call for inquiry into virtual sport by exploring how Electronic Arts¿ Fight Night Round 2 (2005) inscribes the boxing body into the digital game. This article qualitatively analyzes the text of the game in order to consider how it deals with the immateriality of bodies in new media as it translates them into digital space. By focusing on the game¿s avatar creation system and control set, I argue over and against the freedom proclaimed by theorists about new media that Fight Night Round 2 positions users within a hegemonic masculine subjectivity. The essay concludes by addressing how this positioning speaks to the significance of this mediation for boxing as the game positions users in relation to the sport.
Cet essai rejoint la suggestion de Leonard (2006) d¿étudier le sport virtuel en explorant comment l¿art électronique, nommément le Fight Night Round 2, inscrit le corps de boxeur dans le jeu digital. Une analyse qualitative du texte du jeu est faite pour commenter sur la façon dont il s¿y prend avec l¿immatérialité des corps alors qu¿il les traduit en espace digital. En examinant le système de création et l¿ensemble des contrôles du jeu, je suggère, à l¿encontre des théoriciens qui parlent de liberté associée aux nouveaux médias, que les utilisateurs ne sont pas libres et sont plutôt positionnés dans une subjectivité masculine hégémonique. Je conclus par une discussion sur la façon dont ce positionnement laisse transparaître l¿importance d¿une telle médiation pour la boxe.
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