Un des aspects de la Deuxième Guerre mondiale fut la lutte pour le caoutchouc. Forte de sa supériorité technique, l’Allemagne propose son buna, son caoutchouc artificiel et, en compensation, exigea d’entrer dans le capital des sociétés Dunlop, Bergougnou et Michelin. Au nom de la solidarité européenne, face à l’Amérique, elle envisagea aussi de créer une usine de « buna » en France dans le département de l’Ain, sans succès.
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