Les procès de Nuremberg (1945-1946) et de Tokyo (1946-1948) furent une « première » à laquelle la France participa dans le but de punir les « grands criminels de guerre ». L’histoire réclamait un jugement rapide. Les juges français en firent pourtant abstraction. Ils exprimèrent leur différence en critiquant le cœur des procès. Si leur position inédite ne fut pas prise en compte à l’époque, leur héritage dans l’émergence du droit international mérite d’être découvert.
© 2001-2024 Fundación Dialnet · Todos los derechos reservados