The successive Assessment Reports of the Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) and current reservations expressed in good faith by some scientific critics suggest a slow-down in progress toward reliable climate predictions, as needed for science-based management of future climate change. In the author's views, the root of the problem is the difficulty of incorporating accurate representations of subgrid-scale physical processes, especially meteorological processes, in climate models. Relying upon his personal experience of the development of global meteorological observations and numerical weather prediction, the author suggests a change of priorities in the scientific highlights of IPCC reports and the evolution toward a more integrated organization of the climate modeling science community.
Les rapports successifs du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) et les réticences exprimées par des critiques de bonne foi suggèrent un ralentissement du progrès des prévisions climatiques indispensables à une gestion raisonnée des changements à venir. L'auteur attribue la cause primaire de ces problèmes à la difficulté d'appréhender quantitativement le rôle des processus physiques élémentaires, notamment météorologiques, l'échelle inférieure à la résolution des simulations numériques. En se fondant sur l'histoire des observations et prévisions météorologiques globales, l'auteur suggère un changement des priorités scientifiques du GIEC, ainsi qu'une organisation mieux intégrée de la recherche universitaire dans ce domaine.
© 2001-2025 Fundación Dialnet · Todos los derechos reservados