La traduction, la lecture, l’usage des scholies à Pindare, qui remontent aux commentaires des philologues alexandrins, s’imposent pour deux raisons : elles enrichissent nos propres lectures de la sémantique d’une poésie sophistiquée, requérant interprétation déjà à l’époque hellénistique ; par l’évocation du contexte d’énonciation elles permettent de restituer à de purs textes leur force de discours
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