La pensée française a beaucoup perdu à se couper de la « psycho-philosophie » de l’entre-deux-guerres. Non seulement les injections massives de phénoménologie ont occulté les possibilités de jonction entre psychologie positive et métapsychologie, mais la nature des thèses inventées par Sartre et relayées par Deleuze, d’une individuation toujours solitaire et solipsiste, ont rendu incompréhensibles les processus de cogenèse des consciences.
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