Ayuda
Ir al contenido

Dialnet


Impacts des mammifères néotropicaux sur les graines

  • Autores: Louis Lazure, Jarcilene S. Almeida-Cortez
  • Localización: Neotropical Biology and Conservation, ISSN 1809-9939, Vol. 1, Nº. 2, 2006, págs. 51-61
  • Idioma: francés
  • Títulos paralelos:
    • Impact of neotropical mammals on seeds dispersal and predation
  • Enlaces
  • Resumen
    • English

      Seeds dispersal and predation by mammals are two key processes affecting the dynamics of plant communities. Neotropical rainforests, which are of great complexity, have many different relationships involving plant propagules and mammals. Dispersal allows the seed to escape competition and predation, to colonize new sites and to establish in favorable micro-sites. Seed predation reduces the number of seeds able to germinate, can affect dispersal of the remaining seeds and is one of the mecanisms that maintain a high plant species diversity in tropical rainforests. Didelphimorphs and chiropteras are very good dispersers that have a primary role in forest regeneration. Seed predation is very rare in these taxons. Primates, the most studied group on this subject, are also very good dispersers, sometimes predators, and possess an extremely diverse diet. Ungulates can be either dispersers, predators, or both. Their importance is due to their ability to consume generally larger seeds than other mammals. Rodents do not show a net profile and are distinctive by their synzoochore behaviour, consisting of hiding seeds and feeding on them later. An important part of cached seeds can be forgotten and later germinate. The role of carnivores in seed predation or dispersal is poorly known but a few studies show that they could be effective dispersers.

    • português

      La dispersion et la prédation des graines par les mammifères sont deux processus-clés de la dynamique des communautés végétales. Les forêts humides néotropicales, dont la grande complexité est reconnue, présentent un éventail très vaste de relations mammifèrespropagules des plantes. La dispersion permet aux graines d’échapper à la compétition, à la prédation, de coloniser de nouveaux sites et de s’établir dans des micro-sites favorables. La prédation diminue le nombre de graines candidates à la germination, peut affecter la dispersion des graines restantes et constitue un mécanisme de maintien de la grande diversité végétale en forêt tropicale. Les didelphimorphes et les chiroptères sont de très bons disperseurs qui ont un rôle primordial dans la régénération de la forêt. Les cas de prédation des graines dans ces deux taxons sont très rares. Les primates, taxon le plus étudié à ce jour sur le sujet, sont également de très bons disperseurs, parfois prédateurs, qui possèdent une diète extrêmement variée. Les ongulés peuvent être disperseurs ou prédateurs, l’un n’excluant pas l’autre. Leur importance se situe dans leur habilité à consommer des graines en général plus grosses que les autres mammifères. Les rongeurs ne présentent pas un profil net et se distinguent par leur comportement de synzoochorie, consistant à cacher des graines afin de s’en nourrir plus tard. Une part importante de ses graines sera cependant oubliée et candidate à la germination. Le rôle des membre de l’ordre des carnivores est très peu connu, mais quelques études effectuées montrent qu’ils peuvent être d’efficaces disperseurs.


Fundación Dialnet

Dialnet Plus

  • Más información sobre Dialnet Plus

Opciones de compartir

Opciones de entorno