À partir des analyses sur trois traductions chinoises de la Belle au bois dormant de Perrault, l'article montre que le projet traductif/éditorial, le bagage cognitif du lectorat visé et l'idéologie dominante de la société à une époque donnée peuvent tous avoir un impact sur les décisions du sujet traduisant : la traduction de la littérature de jeunesse n'est jamais un transcodage linguistique mais une réécriture sous une série de contraintes extérieures.
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