Since about forty years ago, the number of cases of the plague have continued to decrease regularly (less than one thousand déclarations by WHO each year throughout the world), although there are notable variations between one region and the next. It has even been known to reappear, sometimes because of surveillance efforts being relaxed, sometimes due to an epizootic crisis amongst the carrier rodents, and sometimes for no apparent reason (re-importation ? Re-kindling of old sources ?). While mortality rates remain high when no treatment is given (60 % on average), all shapes and forms of the plague can be cured by means of antibiotherapy, as long as this is undertaken sufficiently early. At present, mortality remains paradoxally high in some countries (e.g., the United States) since the geographic distribution of this condition is not well-known.
Depuis une quarantaine d'années la peste est en décroissance régulière (moins de mille cas annuels déclarés dans le monde par l'OMS) avec cependant des variations d'une région à une autre et des réapparitions, tantôt dues au relâchement de la surveillance, tantôt liées à des poussées épizootiques parmi les rongeurs réservoirs, tantôt inexpliquées (réimportation ? Réveil des foyers anciens ?). Si la mortalité reste élevée en l'absence de traitement, (60 % en moyenne), l'antibiothérapie guérit toutes formes de peste à condition d'être mise en œuvre précocement. Actuellement la mortalité reste paradoxalement élevée dans certains pays (États-Unis) par méconnaissance de la répartition géographique de la maladie.
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