II semble que les médias aient contribué à donner un regain d'actualité à une certaine « littérature d'évasion ». Tandis que l'on réédite, dans des collections de prix relativement peu élevés, certains auteurs dits « à l'eau de rose », les œuvres (traduites) de Barbara Cartland envahissent les tourniquets des libraires et Michel Piccoli ne dédaigne pas de prêter sa voix, pour convaincre, par le truchement des ondes, les lecteurs potentiels de la collection Harlequin. Le texte qui suit aurait aussi pu être titré (cela eut été beaucoup plus universitaire) : A propos de la paralittérature : constituants, structures et contenus du roman d'évasion.
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