In the mid-nineteenth century there was a significant increase in the number of French immigrants disembarking in New York City and quite a few of them remained there. By 1850, Manahattan counted almost 5,000 inhabitants who had been born in France. Among married couples, one in two was mixed : Franco-German, Franco-American, Franco-Irish. Though these unions and their descendants, the French population became directly connected with some 3,000 other résidents who were of foreign or mixed background. Likewise, the relative dispersal of the French through out the city and their constant proximity with other ethnic groups were only partially compensated by the existence of pockets of their concentration, in particular, south of Washington Square. Occupations that can be considered more specifîcally French, were pursued by only a part of the population concerned. Thus, the French in New York City present a picture of a group divided between integration and interaction with their own community.
Au milieu du XIXe siècle, le nombre d'immigrants français débarquant à New York s'accroît et beaucoup d'entre eux s y installent. En 1850, Manhattan compte ainsi près de 5 000 individus nés en France. Parmi les couples qu'ils forment, un sur deux est mixte, franco-allemand, franco-américain ou franco-irlandais. À travers ces unions et leurs descendances, la population française se trouve directement liée à quelque 3 000 personnes de culture étrangère ou mixte. De même, le relatif éparpillement des Français à travers la ville et leur proximité constante avec les autres groupes ethniques ne sont que faiblement compensés par l'existence de poches de concentrations, en particulier au sud de Washington Square. Sur le plan économique enfin, les métiers que l'on peut considérer comme plus spécifiquement français n'occupent qu'une partie de la population concernée. Les Français de New York offrent ainsi l'image d'un groupe partagé entre intégration et réflexe
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