« Privatiser » le divorce prive la convention passée par les époux de l’autorité et par conséquent, de la sécurité que lui conférait le juge. Simple contrat, pourrait-elle être attaquée ou modifiée selon les voies du droit commun, au risque de remettre en cause le principe même du divorce et le règlement de ses conséquences ? Par ailleurs, quelles garanties offrir aux tiers ?
© 2001-2024 Fundación Dialnet · Todos los derechos reservados