Un premier préjugé: à la base de toute lecture, même intégralement silencieuse, une « racine » mentale de nature phonatoire. Un second préjugé: les performances de lecture des élèves non francophones en primaire seraient notablement inférieures à celles de leurs condisciples français. Un troisième préjugé: la dégradation depuis quelques dizaines d'années de cet enseignement primaire. François Richaudeau les réfute tous trois et nous explique ses raisons.
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