Une courbe représentant les oscillations climatiques des 35 derniers millénaires a été décomposée mathématiquement en une somme de sinusoïdes, puis, grâce à ces dernières, prolongée jusqu'à 135 000 B P. Les différences entre le profil théorique ainsi obtenu et l'interprétation des sédiments continentaux peuvent être liées à des érosions, à des ralentissements, à des arrêts de sédimentation ou à des pédogénèses. Pour chacun de ces cas se pose le problème de la hiérarchie des oscillations et de l'importance des limites à 115 et 75 000 B.P.
A diagram representing climatic oscillations occurring over the last 35 millenia was mathematically decomposed into a sum of sinusoïdes and projected to 135,000 B P. The differences between the theoretical profile obtained in this manner and interpretations using the study of continental sediments, can be explained by erosions, slowing down or breaks in sedimentation, and by pedogenesis. In each case, questions arise as to the hierarchical positions of the oscillations, and the amplitude of boundaries at 115 and 75,000 B.P.
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