Statuant à propos d’un livre portant sur la vie intime d’un footballeur professionnel, la cour d’appel de Paris estime qu’en l’absence de débat d’intérêt général et d’actualité, il convient de faire primer le droit au respect de la sphère intime de la vie privée du sportif sur le droit à l’information du public et à la liberté d’expression garantis par les articles 8 et 10 de la Convention européenne des droits de l’homme.
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