Les hommes aiment les trains qui partent à l'heure, les amours heureuses, les maisons fleuries ; bref, ils aiment que la vie soit peinte en rose, et n'hésitent pas à y apporter les retouches nécessaires. Pourquoi alors les médias ne s'intéressent-ils qu'aux catastrophes ferroviaires, au chômage, aux dépôts de bilan des entreprises, aux couples qui divorcent, aux casseurs? Gabriel Racle ne répond pas à la question, mais il souligne finement une des contradictions de nos sociétés.
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