J'AI « écrit » cette nouvelle en me servant des vers de Racine, avec l'obligation de changer de pièce de théâtre-support à chaque vers emprunté. Ponctuation et orthographe sont respectées (mais pas l'alternance rime mâle rime femelle). Mon ambition première, Racine ayant écrit douze pièces, était de composer la treizième. On peut donc également considérer cette nouvelle comme la scène d'exposition de ce projet. Je me suis arrêté là parce qu'elle se suffît à elle-même. (Évidemment, l'historique de la « véritable » disgrâce de Racine ne m'intéresse pas. C'est le texte racinien qui induit ici la fiction.) Y.R.
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