Le Niger présente l’image d’un pays doté d’une société civile relativement active et visible. Cette réalité est le fruit d’une démarche lente, qui a fini par s’imposer à la faveur des événements qui ont ponctué la vie nationale. Indéniable et souhaitable, l’intervention progressiste des associations dans le champ sociopolitique n’empêche pas que le secteur demeure marqué par la dépendance, la personnalisation et un certain biais urbain.
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