En Namibie, la sortie du régime d’apartheid oblige à la reconstruction de l’État comme des collectivités urbaines. Dans cette démarche, la mobilisation des ressources en réserves permettant de construire l’autonomie est essentielle. Trois situations locales extrêmement différenciées par l’héritage historique et par la capacité d’autonomie montrent l’inégalité des collectivités urbaines pour répondre à des paradoxes assez semblables et pour devenir de vrais “gestionnaires paradoxaux” susceptibles de construire leurs compétences. Les approches régulationniste et barélienne sont mises à profit dans cet article.
© 2001-2024 Fundación Dialnet · Todos los derechos reservados