Avec l’institutionnalisation de la danse hip-hop en France, depuis plus de quinze ans, les activités situées dans des espaces institutionnalisés (les salles de danse, les maisons de quartiers) ont très largement supplanté celles de la ” rue “. En cela, les pratiques actuelles interrogent le sens et la forme de la danse hip-hop qui s’est longtemps associée à une culture populaire de rue. À partir de l’analyse comparative des usages sociaux et sexuels des espaces publics, ce texte vise à contribuer à la connaissance sociologique des modes d’apprentissage des danseurs et danseuses.
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