Man and animal in ancient and modern Chinese agriculture. -- Though ordinarily defined as the association of cereals and of plant fibers for textiles (including silk), Chinese agriculture also reserves an important place for livestock, which is divided among animals for consumption (pigs, sheep and fowl) and work animals (oxen and horses). Contrary to what is usually taken for granted, the passage toward intensive farming has not reduced the importance of livestock. Statistics from the 20th century reveal a "densification" of beasts of burden: in 1995, there was nearly one animal per planted hectare and one animal for four persons working on farms.
L'agriculture chinoise est habituellement définie comme l'association de la céréaliculture et de la production de fibres textiles végétales -- y compris la soie. Elle réserve néanmoins une place importante à l'élevage. Les animaux domestiques sont divisés en animaux de consommation -- porcs, ovins et oiseaux de basse-cour -- et bêtes de travail -- bovins et équidés. Contrairement à une idée reçue, le passage à une agriculture intensive n'a pas entraîné la marginalisation de l'élevage. Les statistiques du XXe siècle font en effet ressortir une densification des bêtes de travail. On comptait en 1995 près d'un animal par hectare cultivé et un animal pour quatre actifs.
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