Depuis 1992, le Sénégal a acquis une longue expérience du vote de ses ressortissants à l’étranger. Ce texte étudie la genèse de l’électorat externe, notamment la construction d’un corps électoral externe le plus représentatif possible. Puis, il propose de nuancer l’idée reçue selon laquelle la diaspora « fait » l’élection, sans exclure cependant les effets de cette croyance partagée sur les stratégies d’acteurs. L’impact de la diaspora sur l’élection est finalement plus symbolique que quantitatif.
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