La réception de l’oeuvre de Barthes en Roumanie connaît trois moments : l’époque du réalisme socialiste, dans la suite de son séjour à Bucarest (1947-1949) ; le régime de Ceausescu où domine l’idéologie de « l’autonomie esthétique » ; le début des années 1990, lorsque Barthes devient une figure « post-moderne ». Nous traitons ici le second moment de la réception des écrits barthésiens en Roumanie, le plus long et le plus fertile, quand il fait figure de chantre de la critique esthétique plus que de fer de lance du mouvement structuraliste.
The reception of Roland Barthes’s works in Romania has known three moments : the era of socialist realism, following his stay in Bucharest (1947-1949) ; Ceausescu’s regime, during which “aesthetic autonomy” reigned supreme ; the beginning of the 1990s, when Barthes became a “post-modern” icon. We chose to dwell on the second moment of the reception of Barthes’s writings in Romania, the longest and richest of the three, when Barthes was seen more as an advocate of aesthetic criticism than the backbone of the structuralist movement.
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