Le cas Berliet, l'une des firmes pionnières de l'automobile, est ici réexaminé sous l'angle d'une communauté de travail, dans la Grande Guerre, inspirée des principes fordiens et tayloriens. En nuançant un processus décrit jusqu'alors comme exclusivement américain et imposé par le patron, est réévalué le rôle de l'encadrement dans la construction par la formation, l'éducation, le sport et de nouveaux principes organisationnels de l'homo faber automobile, au sein d'une nouvelle cité industrielle, inspirée partiellement par l'architecte Tony Garnier.
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