Au modèle libéral de « société civile » totalement autonome de l’État et à visée déstabilisatrice, le pouvoir cubain oppose celui d’organisations révolutionnaires de masse, mobilisées à la suite du gouvernement dans la construction du socialisme. Les deux visions ignorent la richesse d’un secteur interstitiel, formé par une société civile intermédiaire, concrète et dynamique, à mi-chemin entre l’étatique et l’autonome.
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