La classe dominante guatémaltèque a pris l’habitude d’utiliser tous les moyens à sa disposition pour empêcher les peuples de s’emparer des rênes de l’État-nation, pour y construire une société juste et démocratique. Si d’importantes luttes se déploient face aux contradictions systémiques, elles manquent d’une perspective stratégique commune et de synergies suffisantes pour affronter avec succès les différentes composantes du modèle dominant.
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