Obsessional slowness:: A case study

• Autores: Wendy W. Lam, Karen W Wong, Mary-Ann Fulks, Liisa Holsti
• Localización: Canadian Journal of Occupational Therapy, ISSN 0008-4174, Vol. 75, Nº. 4, 2008, págs. 249-254
• Idioma: inglés
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    Background. Obsessional slowness is a rare psychiatric disorder with few treatment options and limited research to date. Some suggest that targeted behavioural interventions may reduce the time taken for functional daily activities. Purpose. To examine whether a behavioural intervention would reduce the amount of time taken for an adolescent with obsessional slowness towalk to class. Methods. A single-subject A-B-A withdrawal design was incorporated into this case study. The treatment involved one-to-one pacing and prompting during the subject's walk to gym class. Walking times to gym class were measured during a baseline phase, during a one-month treatment phase, and during a post-treatment follow-up phase. Findings. The subject's walking times decreased during the treatment phase. Post-treatment walking times suggested a carry-over effect. Implications. This study adds to the sparse evidence on treatments for obsessional slowness and suggests occupation-based treatment options.

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    Description. Le syndrome de lenteur obsessionnelle est un trouble psychiatrique rare pour lequel il existe peu de possibilités de traitement et d'études jusqu'à présent. Certaines études suggèrent que les interventions ciblées sur le comportement pourraient réduire le temps pris pour réaliser les activités fonctionnelles de la vie quotidienne. But. Examiner dans quelle mesure une intervention centrée sur le comportement est susceptible de réduire le temps pris par un adolescent ayant un syndrome de lenteur obsessionnelle pour se rendre en classe à la marche. Méthodologie. Un plan d'expérience à sujet unique avec retrait de l'intervention de type A-B-A a été incorporé dans cette étude de cas. Le traitement consistait à régler le rythme de lamarche et à encourager le sujet demanière individuelle pendant qu'il se rendait à son cours d'éducation physique à lamarche. Le temps pour se rendre au cours d'éducation physique a étémesuré lors de l'étape initiale, lors d'une étape comprenant un traitement d'unmois et lors de l'étape de suivi post-traitement. Résultats. Les temps de marche du sujet ont diminué pendant l'étape du traitement. Les temps de marche post-traitement suggéraient un effet de continuité. Conséquences. Cette étude vient s'ajouter aux rares données probantes sur le traitement du syndrome de la lenteur obsessionnelle et suggère desmodalités de traitement basées sur l'occupation.