La destitution en 2016 de la présidente Dilma Rousseff constitue le point d’orgue d’une contre-offensive idéologique adroitement orchestrée. À la manœuvre, une nébuleuse d’organisations ultralibérales qui ont surfé sur la vague anticorruption. Leur floraison est indissociable du prosélytisme d’un think tank états-unien. Quant à leur efficacité politique, indéniable, elle doit beaucoup à l’enthousiasme de l’establishment médiatique brésilien.
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