La romanistique allemande a dès ses débuts pris en compte l’ensemble des langues romanes. Elle a puisé à trois sources : les maîtres de langues, les études sur le latin tardif et la pratique scolaire. La démarche était historique et l’ouverture à des approches plus modernes, sous l’influence du structuralisme, des travaux d’André Martinet et de la révolution d’Eugène Coseriu a été tardive.
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