El primer editor del Diálogo de la dignidad del hombre de Fernán Pérez de Oliva, Cervantes de Salazar, añadió en 1546 una continuación a lo que consideraba un texto incompleto. En 1586 Morales, sobrino del autor, restituye el texto original. La contraposición de las dos versiones abre una reflexión sobre las estrategias argumentativas del diálogo y su sentido, tanto en el plano genérico como en el de la temática de esta obra. En su análisis se parte de la distinción entre la forma diálogo y el pensamiento dialéctico y, a partir de la imagen de le dieu caché de L. Goldmann, se propugna la intencionalidad de Oliva, el valor del silencio y la trascendencia de la elipsis en el argumento de la obra y en la caracterización autorial.
Le premier éditeur du Diálogo de la dignidad del hombre de Fernán Pérez de Oliva, Cervantes de Salazar, a ajouté en 1546 une suite à ce qu'il considérait comme un texte incomplet. En 1586 Morales, neveu de l'auteur, rétablit le texte original. Le contraste des deux versions ouvre une réflexion sur les stratégies argumentatives du dialogue et son sens, à la fois au niveau générique et dans la thématique de cette œuvre. Por l’analyser, nous partons de la distinction entre la forme de dialogue et la pensée dialectique et, à partir de l'image du dieu caché de L. Goldmann, et nous défendons l'intentionnalité d'Oliva, la valeur du silence et l’importance de l’ellipse dans l'argument du dialogue et la caractérisation de l’auteur.
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