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Resumen de Rousseau et la musique: passivité et activité dans l’agrément

André Charrak

  • français

    Lorsque Rousseau, au livre IV de l’Emile, distingue entre les objets physiques et les objets moraux du goût, il généralise les arguments produits depuis 1749dans les nombreux textes consacrés à la musique, sur la priorité de la mélodie sur l’harmonie. S’il est bien clair que, dans son anthropologie, toute la force de la musique repose sur l’imitation dont le chant est en charge, il s’avère néanmoins essentiel de s’interroger sur les modalités selon lesquelles une philosophie de l’expression musicale peut thématiser les déterminations matérielles de son objet. Ainsi Rousseau, lorsqu’il doit faire droit à la façon dont l’harmonie concourt d’elle-même, comme « chose physique », aux grands effets de la musique, est-il conduit à réviser les principes gnoséologiques de la dichotomie tranchée qu’il a mise en place, afin de penser les conditions effectives de la perception musicale.

  • English

    In the distinction Rousseau brings up between physical objects and moral objects of taste in his Emile, book IV, he generalises the reasons put forward since 1749 throughout the many texts dedicated to music, in favour of melody rather than harmony. If in his anthropology, the strength of musicis proven to be conveyed by singing, it is however very important to question how a philosophy of musical expression can define its object. Rousseau has to defend the idea of how harmony, as a « physical thing », contributes to the effect produced by music, but he is inevitably conducted to review the gnoseological principles of his strict dichotomy, in order to study the real conditions of musical perception.


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