En los textos publicados antes del final de los años 80, el término de desimbolización es poco menos que imposible de encontrar. Sin embargo, una lectura atenta permite poner en claro, en varios autores del siglo XX, la idea de un desvinculamiento entre los lenguajes y las realidades. Este desvinculamiento corresponde al fracaso de la simbolización tal y como la concibieron los románticos de Jena (ver la primera parte de esta tesis). El tercer capítulo de la segunda parte de La desimbolización en la cultura contemporánea explora textos de Baudrillard, H.
Lefebvre, J. Ladrière, R. Bastide, J.J. Goux, H.
Lefebvre y G. Lipovetsky, donde la idea de una tendencia a la desimbolización aparece con claridad, pese a que, de hecho, el término mismo no se emplee.
Acordamos especial atención al concepto de “forma-signo” tal y como la concibe Baudrillard. Se trata de la reducción del sentido a la significación, consectaria del desfondamiento de una auténtica referencia. Se establecerá entonces lo que corresponde más bien a una pseudo-referencia que, en vez de abrirse sobre un radical fuera de lenguaje, no es sino un efecto de la partición de la realidad inducida por el signo.
In the texts published before the end of the 80s, the term "desymbolisation" is almost impossible to find. Nevertheless, a careful reading makes it possible to highlight in many authors of the 20th century the idea of a loosening between the languages and the realities that actually corresponds to the failure of the symbolization as the romantics of Iena have conceived it (See first part of this thesis). The third chapter of the second part of " The Desymbolisation in the contemporary culture" explores texts by Baudrillard, H. Levebvre, J.
Ladrière, R. Bastide, J. J Goux H. and G.
Lipovetsky, where the idea of a tendency to desymbolisation appears clearly even if the term is not used.
Particular attention is paid to the concept of "formesigne" as Baudrillard designed it. It is the reduction of meaning to a narrow signification and at the same time the collapse of an authentic reference. It is therefore a pseudo-reference that instead of opening on a radical no language is no more than an effect of the structure of the sign.
Dans les textes publiés avant la fin des années 80, le terme de désymbolisation est quasiment introuvable. Pourtant, une lecture attentive permet de mettre en évidence chez de nombreux auteurs du 20eme siècle l’idée d’une déliaison entre les langages et les réalités qui correspond bien à l’échec de la symbolisation telle que les romantiques d’Iéna l’ont conçue (voir première partie de cette thèse). Le troisième chapitre de la seconde partie de « La désymbolisation dans la culture contemporaine » explore des textes de Baudrillard, H. Levebvre, J. Ladrière R. Bastide J.J.
Goux H. et G. Lipovetsky où l’idée d’une tendance à la désymbolisation apparaît clairement même si le terme n’est en effet pas employé.
Une attention particulière est accordée au concept de « forme-signe » tel que Baudrillard l’a conçu. Il s’agit de la réduction du sens à la signification, corolaire de l’effondrement d’une authentique référence. C’est dès lors une pseudoréférence qui au lieu de s’ouvrir sur un radical hors langage n’est plus qu’un effet du découpage du signe
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