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Resumen de Reassessing the “casus pendens”:: a case study of Old Babylonian omen protases and apodoses

Nadia Ait Said-Ghanem

  • English

    The present article proposes a reassessment of the “casus pendens” categorisation based on Arabic grammatical theory and its focus on sentence structure. Structures traditionally described as ‘casus pendens’ sentences, abbreviated here as nom + nom-suff + x sentences, are reviewed by using Old Babylonian omen protases and apodoses as a case study. This discussion proposes to reinterpret “casus pendens” sentences as mubtadaʾ + xabar structures in which the first nominative is intra-sentential. This inquiry seeks to show that sentences affected by preposing and extraposition are a separate phenomenon to nom + nom-suff + x sentences, and seeks to raise the possibility of analysing the nom + nom-suff unit of this sentence structure as a distinct possessive construction.

  • français

    Dans les textes divinatoires de la collection YOS X, près de 10% des présages, protases et apodoses confondues, contiennent deux nominatifs indépendants. Le premier est situé en tête de phrase, et est suivi d’un second nominatif auquel est attaché un pronom suffixé qui coréfère le premier constituant. Dans cette construction, que j’abrègerai nom + nom-suff + x, l’unité x est soit composée d’un verbe seul, d’un accusatif et verbe, d’un groupe prépositionnel et verbe, soit d’un groupe prépositionnel seul. Les grammaires d’Akkadien traditionnelles identifient cette construction comme un “casus pendens”. Le premier nominatif est analysé comme un élément placé à l’extérieur d’une phrase, elle-même structurée autour d’un sujet et prédicat. Le présent article a pour but de proposer une autre interprétation de cette construction. Le premier nominatif peut être analysé comme un élément intra-sentenciel qui gouverne un prédicat complexe. Cette interprétation se fonde sur les trois types de phrases identifiés en grammaire arabe traditionnelle, et trouve soutien dans l’étude d’Edit Doron sur le prédicat en langue arabe (Doron 1996). Dans mon étude, cette structure fait partie du groupe des phrases de type mubtadaʾ-xabar, nommées phrases nominales. Dans mon modèle, la construction nom + nom-suff + x est identifiée comme une phrase nominale prolongée (the extended nominal sentence). Ma réévaluation du “casus pendens” se penchera sur les jeux de syntaxe qui affectent la construction des protases et apodoses des textes divinatoires paléobabyloniens de la collection YOS X pour séparer les phénomènes comme la dislocation ou l’extraction. Les conclusions de cet article font partie de ma thèse doctorale, qui utilise sept principes de grammaire et linguistique arabe pour décrire la construction des protases et apodoses des textes divinatoires paléo-babyloniens.


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