Des fresques murales dans le port de Brême au projet controversé d’installer une maison close sur le site d’un ancien camp, en passant par le Stalag XB de Sandbostel et le mémorial du Bunker Valentin, quelques exemples choisis de traces qu’ont laissées les prisonniers de guerre, les déportés concentrationnaires et les travailleurs civils, et leur évolution depuis que Patrice Arnaud a connu ces sites en 1995, permettent d’illustrer certaines caractéristiques du travail de mémoire en Allemagne, notamment son caractère tardif, ses origines citoyennes et les résistances qu’il a souvent fallu briser.
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