Depuis quelques années, les diverses manifestations de l’oralité prennent une importance historiographique de plus en plus marquée, l’importance de l’allocution parlée, tant informelle que solennelle, étant de mieux en mieux reconnue. À partir de l’étude de la chronique de Jean Ier de Castille, écrite par le chancelier don Pedro López de Ayala, l’article analyse quelques-unes des expressions les plus significatives de cette oralité politique dont la présence, dans ce texte, prend tout son sens en relation avec les activités du conseil royal, des cortès, des assemblées du clergé et des ambassades.
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