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Resumen de Entre archéologie et littérature: le boutoir et le forfex

Valérie Gitton-Ripoll

  • English

    One of the difficulties of archaelogy is to name objects found in excavations, particulary in case of Roman hippologic instruments. The latin name of the buttrice, or buttress, is gulbia (Veg. Mulom. 1, 26, 2) ; the forfex of the Veterinarius Virilis (Vindolanda 86/470, J.N. Adams, Britannia 21, 1990, p. 267-271) is not a castration clamp, but a twitch, of witch the most famous exemple is the one kept in the British Museum, topped by the figure of the goddess Epona.

  • français

    Une des difficultés posées par l’étude des instruments hippologiques antiques est de faire coïncider les noms, attestés dans les textes, et les objets retrouvés dans les fouilles. Le nom latin du boutoir, servant à parer les pieds des chevaux, est gulbia (Veg. Mulom. 1, 26, 2), dont est issu le français gouge. L’instrument appelé forfex dans la lettre de Vindolanda 86/470 (J.N. Adams, Britannia 21, 1990, p. 267-271), dont le représentant archéologique le plus célèbre est la pince conservée au British Museum, n’est pas une pince à castrer, mais une paire de morailles, un instrument de contention que l’on posait sur la lèvre supérieure du cheval pour le faire tenir tranquille pendant les opérations. La figure divine qui surmonte cet objet est donc plutôt celle d’Épona que celle de Cybèle.


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