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L’artialisation des sons de la nature dans les sanctuaires à automates d’Alexandrie, du iiie s. av. J.-C. au ier s. apr. J.-C.

    1. [1] Université de Toulouse

      Université de Toulouse

      Arrondissement de Toulouse, Francia

  • Localización: Pallas, ISSN 0031-0387, Nº. 98, 2015 (Ejemplar dedicado a: Sons et audition dans l’Antiquité), págs. 31-53
  • Idioma: francés
  • Títulos paralelos:
    • The ‘artialisation’ of the sounds of nature in the sanctuaries of automatons of Alexandria, from the third century BC to the first century AD
  • Texto completo no disponible (Saber más ...)
  • Resumen
    • English

      In Alexandria, since the third century BC, sophisticated machines, automatons, have been designed and perfected by three engineers combining in innovative ways, artistry and technical performance. Ctesibius, Philo of Byzantium and Heron of Alexandria in the first century AD were applied to represent nature, to imitate the living, through sensory illusions to meet the ideological discourse of the Lagid kings, who present themselves as protectors and providers of wealth for the people. We show that the automatons present in the sanctuaries of the Hellenistic capital were the result of new artistic trends and especially religious worship Ptolemaic kings. Henceforth, the nature so “art-performed” gives itself up see and hear. This article analyzes some of these ingenious machinery requesting the hearing, in connection with the representation elements attached thereto.

    • français

      À Alexandrie, dès le iiie s. av. J.-C., des machines élaborées, les automates, ont été pensées et perfectionnées par trois ingénieurs associant, de manière novatrice, talent artistique et performance technique. Ctésibios, Philon de Byzance, puis Héron d’Alexandrie au ier s. apr. J.-C. se sont appliqués à représenter la nature, à imiter le vivant, par le biais d’illusions sensorielles pour répondre aux exigences du discours idéologique des souverains lagide, ceux-ci se présentant comme les protecteurs et les pourvoyeurs de richesses pour le peuple. On montrera que les automates présents dans les sanctuaires de la capitale hellénistique étaient le fruit des nouvelles tendances artistiques et surtout religieuses liées au culte des rois ptolémaïques. La nature artialisée se donne désormais à voir et à entendre. L’article analyse certains de ces dispositifs ingénieux sollicitant l’ouïe, en liaison avec les éléments de représentation qui y sont rattachés.


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