The Journal of French-speaking Swiss writer Charles Ferdinand Ramuz (1878-1947) may discreetly show a Flaubertian influence in the guise of pastiches of his epistolary prose. A kind of “Flaubertian poetics” is thus expressed : unexpectedly, the “commonplace”, “the routine of life” and a certain “disgust of abstraction” are eventually claimed whereas the doctrine of “affective detachment” is rejected. Ramuz appears then as preoccupied with his inscription within French literary history.
Dans le Journal de l’écrivain suisse romand Charles Ferdinand Ramuz (1878-1947), on peut repérer l’aveu discret d’une influence de Flaubert, sous la forme de passages pastichant sa prose épistolaire. Une sorte de « poétique flaubertienne », paradoxale, s’exprime de la sorte : contre toute attente, c’est le « lieu commun », « l’ordinaire de la vie » et un certain « dégoût de l’abstrait » qui en sortent revendiqués, tandis que la doctrine du « détachement » affectif est rejetée. Ramuz paraît alors préoccupé de son inscription dans l’histoire littéraire hexagonale.
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