Lauren Lembo, Michael J. Gall, Richard F. Veit
Las excavaciones arqueológicas en la Mansión White Hill en Fieldsboro, Condado de Burlington, Nueva Jersey, revelaron evidencia material de la construcción y mantenimiento de identidad entre la élite rural del Valle de Delaware durante los períodos colonial tardío y de principios de la república. Este artículo se enfoca en las vidas y experiencias de la familia Field en White Hill y, en particular, de tres de los propietarios de la propiedad: Robert Field II, un comerciante exitoso; su esposa Mary Peale Field; y su hijo Robert Field III. Los Fields participaron de manera significativa en la cultura regional distintiva influenciada por los cuáqueros del valle de Delaware, a veces con éxito y otras veces no tanto. A través de la teoría de la agencia, las construcciones sociales de la gentileza, la investigación documental y la evidencia arqueológica por encima y por debajo del suelo, se examinan las formas en que los Fields y sus familiares interactuaron con la cultura material para crear y mantener identidades sociales, económicas y políticas desde la década de 1750 hasta la década de 1810. La evidencia revela que los miembros individuales de la familia usaron varios métodos y comportamientos culturales para cultivar y mantener las identidades deseadas que ocasionalmente tuvieron consecuencias no deseadas y destructivas.
Archaeological excavations at the White Hill Mansion in Fieldsboro, Burlington County, New Jersey, revealed material evidence of identity construction and maintenance among the Delaware Valley’s rural elite during the late colonial and early Republic periods. This article focuses on the lives and experiences of the Field family at White Hill and, in particular, three of the property’s owners: Robert Field II, a successful merchant; his wife Mary Peale Field; and their son Robert Field III. The Fields were significant participants in the distinctive Quaker-influenced regional culture of the Delaware Valley, at times successfully and at times less so. Through agency theory, social constructs of gentility, documentary research, and both above- and below-ground archaeological evidence, the ways in which the Fields and their relatives employed material culture to create and maintain social, economic, and political identities from the 1750s to the 1810s are examined. The evidence reveals that individual family members used various methods and cultural behaviors to cultivate and sustain desired identities that occasionally had unintended and destructive consequences
Les fouilles archéologiques effectuées sur le site de la White Hill Mansion à Fieldsboro, comté de Burlington dans le New Jersey, ont mis à jour des éléments matériels relatifs à la construction et au maintien d'une identité parmi l'élite rurale de la Vallée du Delaware au cours de la fin de la période coloniale et au début de la république. Cet article s'intéresse aux vies et expériences de la famille Field à White Hill et en particulier, à trois des propriétaires de la demeure : Robert Field II, un négociant prospère, son épouse Mary Peale Field, et leur fils Robert Field III. Les Field étaient des participants importants de la culture régionale typique influencée par les Quakers dans la Vallée du Delaware, parfois avec succès et parfois moins. Une étude est effectuée sur la base de la théorie de l'agentivité, des constructions sociales d'appartenance à une classe supérieure, de la recherche documentaire et des preuves archéologiques de terrain et souterraines, mais également des manières grâce auxquelles les Field et les membres de leur famille se sont appuyés sur la culture matérielle pour créer et maintenir des identités sociales, économiques et politiques entre les années 1750 et 1810. Les preuves révèlent que les membres individuels de la famille utilisaient des méthodes et comportements culturels variés afin de cultiver et faire perdurer des identités souhaitées, ayant eu parfois des conséquences destructrices et involontaires.
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