París, Francia
Los dos barcos de La Pérouse estaban poblados de sabios. Juzgan ellos que el talento y la dignidad de los depositarios del poder que los recibieron no bastan para compensar el absurdo de las leyes que rigen el archipiélago : éste permanece como un erial. A pesar de la eficacia del personal del astillero de Cavite, su mirada sobre los malayos es bastante negativa.
A mediados del siglo XIX, el marino escritor Jurien de la Gravière puede comparar la cruda disciplina impuesta a los malayos por los holandeses con la benignidad de los ibéricos que les deja bastantes placeres. Reflexiona sobre el buen gobierno de las colonias. Sus descripciones son instructivas y nota que el progreso del mestizaje va a plantear nuevos problemas a la corona.
Les deux navires de La Pérouse étaient peuplés de savants. À leurs yeux, la capacité et la dignité des détenteurs du pouvoir espagnol qui les ont reçus ne suffisent pas à compenser l’absurdité des lois qui régissent l’archipel : c’est un trésor en friche. Malgré l’efficacité du personnel de l’arsenal de Cavite, leur vision des Malais est plutôt négative.
Au milieu du XIXe siècle, le marin écrivain Jurien de la Gravière a pu comparer l’exploitation sévère pratiquée par les Hollandais avec le laxisme des Espagnols qui laisse aux natifs une dose de bonheur de vivre. Il se demande quelle est la « bonne colonisation ». Ses descriptions sont précieuses et il note que la multiplication des métis va poser de sérieux problèmes au pouvoir espagnol.
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