Resumen de Formes d'habitats et d'habitations en Pays Basque nord a l'époque protohistorique et durant la romanisation (bref état de la question)
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Dans quelle mesure l'habitat ancien, protohistorique et antique du Pays Basque Nord, nous est-il connu et peut-on retrouver a travers les techniques et les plans repérés et étudiés à ce jour, des sites qui contribueraient a distinguer, par la suite aussi, un domaine proto-basque voire aquitain? Les camps dits protohistoriques, ne le sont sans doute pas tous, des datations récentes nous indiqueraient que ces habitats-refuges furent surtout érigés à la fin de l'ère précédente. Les types d'habitation qu'ils abritaient primitivement, nous sont tres peu connus; l'on peut déjà repérer l'utilisation du pisé, comme de la pierre. La photo aérienne dans un cas (Tchoykantegia a ldaux-Mendy) semble avoir décelé a l'intérieur de la défense des structures circulaires (cabanes?).
L'habitat permanent, te! qu'il nous est connu a travers les "tertres d'habitats" (saisonniers) de montagne révèlerait une dominante du plan circulaire (huttes de pierre, couvertes d'un dôme construit en encorbellement?).
Le plan angulaire aurait été surtout répandu avec l'occupation romaine, mais la romanisation (si l'on en juge à travers l'exemple du vicus routier d'Imus Pyrenaeus à St Jean le Vieux en Basse Navarre) a le plus souvent fixé, systématisé, voire amélioré les techniques qui avaient cours dans le monde indigène au moment de la conquête.
Ces modes de construction, largement liées a la tradition locale vont se survivre, en Pays Basque Nord, d'autant mieux que cette zone n'est pas touchée au Bas-Empire par l'implantation latifundiaire (villas rustiques).
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¿En qué medida nos es conocido el hábitat antiguo, y hasta qué punto podemos volver a encontrar a través de las técnicas y de las plantas localizadas, unos emplazamientos que contribuyan a distinguir, incluso en el futuro un ámbito protobasco o propio de Aquitania? Los castros llamados protohistóricos, sin duda no lo serán todos; dataciones recientes nos indicarían que aquellos hábitats-refugios fueron erigidos esencialmente al fin de la era anterior. Los tipos de vivienda que albergaban primitivamente nos son muy poco conocidos; se puede notar ya tanto el uso del adobe como el de la piedra. La foto aérea en un caso (Tchoykantegia en Idaux-Mendy) parece divisar en el interior de la defensa estructuras circulares (¿chozas?).
El hábitat permanente, tal como lo conocemos a través de los "cerros de hábitats" (estacionales) de la montaña, revelaría un dominio de la planta circular (cabañas de piedra cubiertas con una cúpula "corbelled").
El sistema de cuadrícula se habría esencialmente difundido bajo la ocupación romana, pero la romanización (de juzgar por el ejemplo de la vicus red vial (red de carreteras) de Imus Pyrenaeus a Saint-Jean-le-Vieux, en Baja Navarra, permitió la mayoría de las veces que se fijaran, sistematizaran y hasta mejoraran las técnicas vigentes en el mundo indígena en el momento de la conquista.
Tales modos de construcción, ampliamente supeditados a la tradición local van a sobrevivir en el País Vasco Norte, tanto más cuanto que a esta zona no la atañe la implantación de latifundios (villa rústica) en el Bajo-Imperio.
