L'article se concentre sur la conception meslierienne du rapport entre religion et politique, en analysant la façon dont Meslier traduit le problème théologico-politique dans le problème économique de l’inégalité liée à la propriété, entendue comme conséquence de l’expropriation du travail, et mettant en évidence les réponses que cette traduction lui permet de donner aux questions laissées ouvertes par l'Avant-propos.
© 2001-2024 Fundación Dialnet · Todos los derechos reservados