Selon Michel de Certeau, Le Jardin des délices de Jérôme Bosch met en scène un délire interprétatif, où la prolifération des images, la saturation des symboles et l’incohérence de la composition déjouent toute tentative d’explication linéaire. Le tableau illustre ainsi ce que l’auteur a nommé « l’inversion du pensable ».
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