Les sons de la ville ont pour but d'éviter un silence rarement choisi - si ce n'est dans le recueillement d'une salle de concert classique - souvent synonyme de mort de la société et structurent l'espace par les ambiances sonores qu'ils créent. Tous les sons ne sont cependant pas choisis et l'on assiste à une banalisation des espaces sonores, au travers de la perte de sons traditionnels, de la prolifération de musiques ubiquistes, voire destinées à neutraliser l'espace (la "musak" des lieux commerciaux).
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